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Syndicat CGT  AUTO INERGY DIVISION Groupe Plastic Omnium

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Première conférence de presse de Donald Trump

Première conférence de presse de Donald Trump

Première conférence de presse de Donald Trump

 
 

Mercredi 11 janvier, à neuf jours de son investiture, le président élu a pu répondre aux questions de la presse, depuis sa tour new-yorkaise sur la Ve Avenue. Au sujet des créations d’emploi, M. Trump n’a pas hésité à faire référence au divin : « Nous allons créer des emplois. J’ai dit que j’allais être le plus grand créateur d’emplois que Dieu ait jamais créé. Je le pense vraiment. » Enthousiaste, il a justifié cette affirmation par : « Il y a une atmosphère fantastique en ce moment, une atmosphère que beaucoup de gens me disent n’avoir jamais vue auparavant. »

Le président élu a également redit tout le mal qu’il pense de l’Obamacare, ce dispositif étendant la couverture des soins de santé et principale action sociale du gouvernement démocrate sortant. Cela a été un « désastre complet », a-t-il lancé. « Annuler et remplacer » le dispositif sera une « priorité ».Le président élu a affirmé avoir cédé le contrôle de ses entreprises à ses fils Eric et Donald Jr pour la durée de son mandat. Il a promis que cela permettrait d’éviter les conflits d’intérêts avec sa fonction présidentielle.

A propos du piratage du Parti démocrate lors de la campagne présidentielle américaine imputé à la Russie, Trump a de nouveau reconnu que Moscou en était bien à l’origine. Au sujet des informations compromettantes dont le Kremlin disposerait sur M. Trump, et que le site d’information BuzzFeed a rendues publiques plus tôt dans la journée, l’intéressé a affirmé qu’il s’agissait d’une « chose inventée » par ses adversaires. Il a d’ailleurs accusé les agences de renseignement américaines d’avoir laissé fuiter ce « faux » dossier russe. « Cela n’aurait jamais dû être diffusé, a-t-il dit. C’est une honte. »

Enfin, sur le Mexique, M. Trump a expliqué que les contribuables américains financeront le budget de construction du mur frontalier avec les Etats-Unis, mais que Mexico remboursera ensuite ce coût. « J’aurais pu attendre un an et demi environ que nous finissions nos négociations avec le Mexique, que nous lancerons immédiatement après ma prise de fonctions, mais je ne veux pas attendre », a justifié M. Trump au sujet de l’une de ses promesses de campagne les plus emblématiques.

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