Toutefois, si le président algérien n’a pas pu rencontrer le prince héritier, il n’empêche qu’“Alger souhaite avoir à ses côtés l’Arabie Saoudite, le plus gros exportateur de pétrole au monde, lors des discussions prévues cette semaine à Vienne pour stabiliser les prix”, souligne le site algérien. L’Algérie, qui fait face à des difficultés budgétaires et qui a eu recours à la planche à billets, a tout intérêt à ce que les prix du pétrole ne baissent pas. Par ailleurs, les Saoudiens seraient intéressés par des investissements en Algérie, notamment dans les secteurs des TIC, des énergies renouvelables et du tourisme.