Ils sont encore plus nombreux (69 %) à la juger « non finançable ».
Si une courte majorité des salariés (51 %) pensent que le revenu universel augmenterait leur pouvoir d'achat, seulement 38 % estiment qu'il permettrait de travailler moins, 37 % qu'il favoriserait la mobilité professionnelle ou la création d'entreprise et 29 % qu'il aiderait à diminuer le chômage.